Revenir à ses racines tout en recueillant des fonds pour Vols d’espoir

Revenir à ses racines tout en recueillant des fonds pour Vols d’espoir

L’un des pilotes en chef de l’expédition Donner des ailes à l’espoir a eu l’occasion de revenir à ses racines avec le groupe d’autres pilotes qui l’accompagnaient.

Brian Huston a grandi à Atikokan, à l’ouest de Thunder Bay, et retourner dans le nord de l’Ontario lui a rappelé pourquoi il s’était engagé avec Vols d’Espoir.

Il explique que l’un des temps forts de l’expédition automnale a été l’arrêt à Sault Ste. Marie.

Après l’atterrissage, les pilotes se sont enregistrés à l’hôtel et ont dîné sur place. Leur serveuse a reconnu le logo Vols d’espoir sur leurs vestes et leur a expliqué qu’elle avait utilisé les services de Vols d’espoir. Elle était extrêmement reconnaissante envers les pilotes et leur expédition de financement.
L’un des pilotes en chef de l’expédition Donner des ailes à l’espoir a eu l’occasion de revenir à ses racines avec le groupe d’autres pilotes qui l’accompagnaient.

Brian Huston a grandi à Atikokan, à l’ouest de Thunder Bay, et retourner dans le nord de l’Ontario lui a rappelé pourquoi il s’était engagé avec Vols d’Espoir.

Il explique que l’un des temps forts de l’expédition automnale a été l’arrêt à Sault Ste. Marie.

Après l’atterrissage, les pilotes se sont enregistrés à l’hôtel et ont dîné sur place. Leur serveuse a reconnu le logo Vols d’espoir sur leurs vestes et leur a expliqué qu’elle avait utilisé les services de Vols d’espoir. Elle était extrêmement reconnaissante envers les pilotes et leur expédition de financement.

« Je n’arrivais tout simplement pas à croire qu’une telle rencontre soit le fruit du hasard. Ce n’était qu’un autre rappel de l’importance de ce que nous faisons. »

Brian est également pilote bénévole de Vols d’espoir depuis 2017, un programme dans le cadre duquel les pilotes aident les patients à se rendre à leurs rendez-vous médicaux et à en revenir dans leurs propres petits avions.

Pendant toute sa jeunesse, Brian a connu de nombreuses personnes qui auraient eu besoin d’un programme comme Vols d’espoir. Cette nécessité lui est restée, et lorsqu’il a eu les moyens de voler, il a décidé de donner une partie de son temps à Vols d’espoir. Une expérience l’a profondément marqué : un jour, il a emmené un jeune garçon et sa mère depuis London. Ils devaient se rendre à Sault Ste. Marie. Brian a apporté un casque d’écoute, autrefois utilisé par ses enfants, pour que le garçon puisse parler pendant le vol.

À son arrivée, il a vu le visage du jeune patient s’éclairer à l’idée d’avoir la possibilité de prendre un casque d’écoute, de voler sur le siège avant de l’avion et d’avoir l’occasion d’apprendre à le piloter.

« Pendant quelques heures, j’ai réussi à lui faire oublier ses traitements et à faire de cette journée une aventure.  »

Nous reconnaissons que nous vivons et travaillons sur les territoires traditionnels non cédés de nombreux peuples autochtones. Nous sommes reconnaissants d’avoir le privilège de nous trouver sur des terres dont ces peuples prennent soin depuis des temps immémoriaux.