L’aide et l’espoir s’invitent chez Abby qui doit faire face au diabète

L’aide et l’espoir s’invitent chez Abby qui doit faire face au diabète

C’est une semaine avant Noël que les parents d’Abby ont commencé à s’inquiéter pour leur fille de cinq ans. « Elle avait soif et allait toujours aux toilettes. Ses mains étaient très sèches et elle ne se sentait pas bien », explique Becky, sa mère. Abby consulte un médecin qui teste immédiatement sa glycémie. La glycémie d’un enfant en santé devrait être d’environ 5. Celle d’Abby est de 33 : elle est diabétique.

Le diagnostic bouleverse la vie de la famille. La gestion du diabète pour un enfant en croissance nécessite des traitements hautement spécialisés. La meilleure source de soutien en la matière est l’Hôpital pour enfants de Colombie-Britannique, à Vancouver. Il est situé à plus de 1 100 km de Smithers, en Colombie-Britannique, où vit la famille.

S’y rendre par la route n’était tout simplement pas possible. Rester immobile dans un véhicule pendant 13 heures peut poser problème pour un enfant diabétique. Par ailleurs, les arrêts fréquents nécessaires pour qu’Abby aille aux toilettes allongeraient d’autant plus le trajet.
C’est une semaine avant Noël que les parents d’Abby ont commencé à s’inquiéter pour leur fille de cinq ans. « Elle avait soif et allait toujours aux toilettes. Ses mains étaient très sèches et elle ne se sentait pas bien », explique Becky, sa mère. Abby consulte un médecin qui teste immédiatement sa glycémie. La glycémie d’un enfant en santé devrait être d’environ 5. Celle d’Abby est de 33 : elle est diabétique.

Le diagnostic bouleverse la vie de la famille. La gestion du diabète pour un enfant en croissance nécessite des traitements hautement spécialisés. La meilleure source de soutien en la matière est l’Hôpital pour enfants de Colombie-Britannique, à Vancouver. Il est situé à plus de 1 100 km de Smithers, en Colombie-Britannique, où vit la famille.

S’y rendre par la route n’était tout simplement pas possible. Rester immobile dans un véhicule pendant 13 heures peut poser problème pour un enfant diabétique. Par ailleurs, les arrêts fréquents nécessaires pour qu’Abby aille aux toilettes allongeraient d’autant plus le trajet.
La famille prend l’avion lors du premier voyage, mais, à l’approche du rendez-vous suivant, Becky s’inquiète. Aujourd’hui, mère célibataire, elle ne peut se permettre de prendre l’avion. Sans l’aide de l’Hôpital pour enfants, Abby pourrait devoir faire face à de graves problèmes. Il est très difficile de stabiliser la glycémie d’un enfant en croissance. Les personnes diabétiques peuvent devoir être hospitalisées, ou dans le cas d’une crise de diabète, et si la glycémie est déséquilibrée pendant de longues périodes, cela peut conduire à une maladie cardiaque, à la cécité et même à la perte de membres.

« Les gens ne savent probablement pas qu’ils font une si grande différence dans nos vies. À moins d’avoir un enfant atteint d’une maladie chronique, on ne peut imager ce que cela représente pour une famille.  »

Enfin, une solution se présente : une autre mère parle de Vols d’espoir à Becky. « Au début, je n’y croyais pas. On se dit toujours que rien n’est gratuit dans la vie. Mais c’est la meilleure chose qui soit! Je savais que je pouvais offrir à Abby l’aide dont elle avait besoin »

Les voyages à Vancouver ne se limitent pas à de simples rendez-vous. La pompe à insuline d’Abby doit constamment être ajustée : un processus délicat. « Si elle est en crise d’hypoglycémie, je peux ajuster la pompe », précise Becky « Mais il peut s’écouler un mois avant que je n’atteigne la dose parfaite, et, pendant ce temps, Abby ne sent pas bien et doit s’absenter de l’école. Quand nous consultons un spécialiste, il n’a besoin que de quelques heures pour faire les ajustements. »

Grâce à ce soutien, Abby peut participer aux mêmes activités que les autres enfants de son âge. Elle a fait de la gymnastique et de la danse et fait maintenant partie d’un club 4-H. Vols d’espoir a été leur bouée de sauvetage tout au long de leur périple. « Si je pouvais parler aux collaborateurs et aux donateurs de Vols d’espoir, je fondrais sûrement en larmes », assure Becky. « C’est un tel soulagement. »
Enfin, une solution se présente : une autre mère parle de Vols d’espoir à Becky. « Au début, je n’y croyais pas. On se dit toujours que rien n’est gratuit dans la vie. Mais c’est la meilleure chose qui soit! Je savais que je pouvais offrir à Abby l’aide dont elle avait besoin »

Les voyages à Vancouver ne se limitent pas à de simples rendez-vous. La pompe à insuline d’Abby doit constamment être ajustée : un processus délicat. « Si elle est en crise d’hypoglycémie, je peux ajuster la pompe », précise Becky « Mais il peut s’écouler un mois avant que je n’atteigne la dose parfaite, et, pendant ce temps, Abby ne sent pas bien et doit s’absenter de l’école. Quand nous consultons un spécialiste, il n’a besoin que de quelques heures pour faire les ajustements. »

Grâce à ce soutien, Abby peut participer aux mêmes activités que les autres enfants de son âge. Elle a fait de la gymnastique et de la danse et fait maintenant partie d’un club 4-H. Vols d’espoir a été leur bouée de sauvetage tout au long de leur périple. « Si je pouvais parler aux collaborateurs et aux donateurs de Vols d’espoir, je fondrais sûrement en larmes », assure Becky. « C’est un tel soulagement. »

Nous reconnaissons que nous vivons et travaillons sur les territoires traditionnels non cédés de nombreux peuples autochtones. Nous sommes reconnaissants d’avoir le privilège de nous trouver sur des terres dont ces peuples prennent soin depuis des temps immémoriaux.